Le Heaven - Salon privé

Vous pénétrez dans le salon personnel de Rose.

A droite de l'entrée se trouve un coin salon, avec un canapé de velours rouge sombre, ainsi que trois fauteuils dans le même coloris. Une petite table basse en bois précieux était posée au centre, les sièges et le divan disposés en cercle autour.

Cette partie de la pièce est éclairée par quelques petites lampes électriques, mais reste plutôt sombre. Deux grands miroir, décorés de soieries drapées sur le dessus et retombantes sur les côtés, complétent le décor.

Un peu en retrait, caché par un paravent en bois rouge sculpté, se trouve un lit. Une couverture en soie noire, doublée de soie rouge, le recouvre. Deux grands oreillers noir, recouverts du même tissu que la couverture, sont disposés sous un traversin rouge et quelques petits coussins de la même teinte. Il y a également deux verres de cristal noir sur le lit, avec un rose rouge et un menu... Menu des accessoirs rangés dans le petit coffre à côté du lit certainement.

Reiko entra, tenant le jeune homme par la main. Le contact de sa peau lisse, douce, lui plaisait. Les clients étaient habituellement rustres, voir même peu soignés pour certains... C'était parfois une torture de devoir les toucher, sentir leur odeur nauséabonde où se melait des relants de mauvais after shave, de sueur et d'alcool. Mais elle avait appris à supporter cela et à feindre le plaisir en leur compagine, en échange d'un bon pourboire. De toute manière, les hommes se valaient tous à ses yeux.

Elle sourit légèrement en pensant que cette fois ci, ce serait plus facile. L'homme dont elle devait s'occuper était totalement différent des clients lambda, sur ce point du moins. Il sentait bon, avait la peau douce et chaude, et semblait avoir de bonnes manières. Enfin, ils n'avaient échangé que quelques mots, et la jeune femme était bien placée pour savoir comme un homme peut changer d'attitude lorsqu'il sait qu'une femme est là pour son plaisir.

Reiko mena l'homme jusqu'au canapé, le laissa s'assoir et s'en alla vers le paravent. Elle passa derrière, puis revint au bout de quelques secondes, deux verres en cristal noir dans une main et une bouteille de vin rouge dans l'autre. La danseuse la déboucha, versa le liquide pourpre dans les verres et en tendit un à son "invité".

Vous avez l'air d'un esthète monsieur, je pense que vous apprécierez donc ce vin.

Reiko vint s'assoir à côté de lui, leva son verre et ajouta :

A vous, dont je serais l'obligée pour un moment.

Elle lui sourit doucement, porta le verre à ses lèvres et avala quelques gorgées de vin.

Innocence Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 02/12/2005

Assis dans ces merveilleux canapé, soyeux et moelleux, kurayami se sentait on ne peut mieux. Ses mains parcourait ses cuisses excitées par l'entrejambe de cette femme. Le pantalon de kurayami avait gonflé, et désormais son désir était à son paroxisme. Son sexe était en érection et ne demandais qu'une seule chose, se libérer. Le vin les bonnes paroles, tout ceci ennuyait profondémment Kurayami qui avait l'air d'une bête affamé devant une beau steack de boeuf saignant.

Kurayami posa son vin sur une petite table disposée a côté du fauteuil et se rapprocha de sa compagne. Celle ci semblait attendre quelque chose, un signe de sa part, il posa delicatement sa main douce sur celle de la femme a moitié nue, puis la prit pour l'enmener sur sa propre entrejambe, la ou il voulait qu'elle aille.

Vous savez, on vous l'a peut etre déjà dit mais vous êtes tres belle, votre beautée, entraîne mon corps dans une euphorie que je ne serait retenir, si vous sentez sur ce quoi je vous ai fait posé la main, alors vous saurez l'envie qui brûle en moi.

La main de Reiko se vit posée par le jeune homme sur ses parties intimes une nouvelle fois. La jeune femme glissa contre le corps de son compagnon, appuya sa main sur son entrejambe et commença à le caresser comme plus tôt, lorsqu'ils étaient attablés. Lorsqu'elle voulu ouvrir son pantalon, celui ci s'y opposa sans un mot, mais avec une expression dans le regard qui voulait tout dire.

Peut être voulait il faire durer le plaisir, peut être était il complexé... Peu importait, la volonté du client était son devoir, aussi ne fit elle pas un geste de plus. A la place, Reiko passa sa jambe par dessus celles du jeune homme et vint s'assoir à califourchon sur lui. Elle le regarda un instant dans les yeux. Ce garçon avait une étrange expression, elle n'aurait pu dire ce qu'il pensait, ce qui la perturba un peu. Habituellement, les désirs des clients étaient évidents. Mais cela rajouterai du piment à la chose, ce qui ne lui déplaisait pas au final.

La jeune femme passa lentement sa langue sur les lèvres de Kurayami, les effleurant aussi délicatement que possible, laissant ses mains courir le long des flancs fins du garçon. Subitement, elle attrappa sa lèvre inférieure et la mordit sans retenue, allant jusqu'à le faire saigner. Reiko se mit à sucer doucement la lèvre de Kurayami, l'aspirant entre les siennes. Le goût du sang, cuivré, métallique, se sentait parfaitement lorsqu'elle introduisit sa langue entre ses lèvres entre ouvertes pour lui donner un baiser profond, langoureux et plus intime peut-être qu'avec ses habituels clients.

Il fallait dire que cet homme lui plaisait. Il était magnifique, parfaitement proportionné. Son visage aux traits féminins était en parfait contraste avec la virilité qui se dégageait de sa personne. Le toucher de ses lèvres pleines était un délice, que le goût du sang ne faisait que renforcer. Pour une fois elle éprouvait un réel désir pour l'homme à qui elle devait offrir son corps, et cela la troublait réellement.

Reiko s'écarta lentement du corps de Kurayami et lui demanda :

Si tu ne veux pas que je passe aux choses sérieuses maintenant, que veux tu que je te fasse ? Ordonne et j'obéis, je suis là pour cela. Je peux être n'importe lequel de tes fantasmes, choisis. Je n'ai aucune limite.

Innocence Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 02/12/2005

Ce petit temps mort dans les ébats n’avait que trop duré, Kurayami fit signe a la belle de commencer le travail, elle descendit la braguette de son pantalon délicatement. Elle commença a passer la main a l’intérieur de l’orifice mais son visage devint soudain livide. Kurayami eu un rictus suivit d’un petit rire sadique, il se releva poussa la femme a terre et saisi ce qui faisait grossir son pantalon. Un 33 mm était maintenant pointée vers la danseuse du heaven. Les yeux de Kurayami se chargèrent d’une expression sadique.

Ahahahahah… pauvre PUTE tu croyais qu’on pouvait m’avoir facilement ? Moi , Innocence ? Sais tu au moins qui je suis ?

Regardant la jeune femme a terre qui avait le regard fixé sur le canon de l’arme, Kurayami remit en place une de ses mèches de cheveu, avant de sortir une cigarette et s’asseoir sur le rebord du fauteuil, pointant toujours la prostituée. Un autre rire sadique
S’échappa de sa bouche telle une mélopée funèbre.

Sache que je suis un ange, que dis-je un dieu, et tu n’as pas le droit de jouer avec moi, je suis la pour une seule chose le sang… je veux du sang… je veux TON sang.. Pouvoir me répandre dans tes entrailles encore chaudes….. Tu as peur n’est-ce pas ? Dit que tu as peur, tu voulais que je te dicte la procédure a suivre, alors tu vas m’écouter… je ne te tuerai pas ce soir, car tu m’est totalement insignifiante, ta condition humaine et déjà assez l’enfer pour que je te donne l’absolution avec une balle.

Il la regarda sans lacher cette expression de sadisme aigüe

La jeune femme sourit largement à l'adresse de Kurayami. Sans bouger de la place où elle se trouvait, elle lui dit avec une expression de biche apeurée :

Oh non ! Alors c'est toi Innocence ? Ne me tues pas, je ferais ce que tu veux.

Reiko se laissa tomber sur le sol, de ses yeux coulaient des larmes alors qu'elle commença à ramper vers le jeune homme qui pointait sur elle son pistolet. Elle s'accrocha à ses pieds, tira sur ses bras comme si toutes ses forces l'avaient abandonnée et se hissa péniblement jusqu'à la hauteur du visage du tueur.

Ne me tues pas je t'en supplie. Fais moi tout ce que tu veux mais ne me tues pas... Je... J'ai tellement peur, je ne veux pas mourir, pas comme ça.

Soudain, son visage changea totalement d'expression et la danseuse éclata de rire, un rire aussi malsain que celui de Kurayami quelques instants auparavant. Elle le renversa brutalement sur le lit, sortit un couteau de sa botte et le plaqua sur sa gorge.

Je suis comme toi mon Ange... Je veux du sang, j'ai encore le goût du tien dans la bouche... Donnes m'en encore.

Reiko passa sa langue sur ses lèvres, riant de plus belle. Tomber sur un tueur, voilà qui était amusant. Elle déchira la chemise de Kurayami et commença à dessiner des arabesques de la pointe de son couteau sur son torse nu. Sa peau était pale, divinement fine et douce... D'un geste franc et précis, elle lui infligea une estafillade longue de plusieurs centimètres. Le sang se mit à couler. La jeune femme se pencha sur la blessure, tout en fixant Kurayami de ses yeux noirs, pleins d'envie. Lentement, elle passa sa langue sur la plaie pour receuillir le liquide qui en suintait.

Reiko remonta jusqu'aux lèvres de Kurayami, et murmura :

Je suis sûre que toi tu sais donner du plaisir aux femmes... Prends moi mon Ange de la Mort.

Innocence Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 02/12/2005

[ah ca devient sadique j'aime ça]

Le visage de Kurayami se transforma, il perdit tout regard sadique et arborait désormais un faciès plus élégant, sorte de visage enclin au désir, au vrai plaisir, la perversion mêlée a la violence et au sang. Les entailles que dessinaient La prostituée sur le magnifique corps de Kurayami n’était pas pour lui déplaire. Bien sur, si ces marques aurait altérés plus tard son doux et gracieux corps, il aurait si tôt fait de tuer cette créature d’une balle entre les deux yeux. Mais connaissant le plaisir de la douleur, il savait que les cicatrices resteraient sans conséquences.. La lame froide, sur la peau chaude était un plaisir qui faisait exploser son désir. Il sentait son sang chaud, puis froid se répandre sur son torse svelte mais marqué par un entraînement physique de surface. L’humidité de la langue de la jeune femme créait un contraste étonnant, douleur, frisson, désir, pulsion sadique et sexuelle se mêlés dans un sentiment confus, mais terriblement plaisant.

Tu veux que je te montre a quoi ressemble ton Ange chérie ? dit il a la prostitué, la voix suave et encore emplie du sang que la jeune femme venait de déposer.

Une marque du sang s’était déposé sur le menton de la prostituée, que Kurayami s’empressa de lécher d’une langue pleine d’envie. Son sang tellement goûté, pénétrant sa gorge et se répandant en son corps revenant a sa source première. Kurayami pris les hanches de sa partenaires et l’emmena plus au milieu de la couche il la posa sur son abdomen et commença a tordre son bassin dans un mouvement de vas et viens, coupé par quelques respirations haletantes.

La respiration de Reiko se fit rapidement plus haletante, saccadée sous les mouvements de Kurayami. Un moment elle se laissa guider, callant les mouvements de son bassin sur ceux du jeune homme. Elle sentait à travers sa culotte la pression de son sexe, gonflé par l'envie et l'excitation, qui appuyait fortement contre son intimité, faisant augmenter de plus en plus son désir...

La jeune femme roula sur le côté, lachant son couteau, attrappa Kurayami par les poignets et le fit se mettre en position assise. Elle fit alors glisser la chemise qu'il portait le long de ses bras fins et musclés, la laissant choir sur les draps comme on le ferai avec un paquet encombrant. Puis elle pris sa main, la porta à sa bouche et entrouvrit les lèvres. Dégageant l'index du garçon de ses autres doigts, elle se mit à le lécher lentement, sa langue allant et venant, avant de le prendre dans sa bouche. Reiko s'attarda un instant sur le doigt de Kurayami, puis elle reposa la main du jeune homme sur les draps, et se pencha sur son pantalon.

Tout en couvrant le bas ventre de l'homme de baisers alternés avec des morsures appliquées, elle finit de défaire sa fermeture éclair, ainsi que son bouton, libérant son bassin enserré par le tissu devenu bien trop étroit.

Mmmm mon Ange est excité on dirait... Dis moi ce que tu veux que je fasse, j'ai envie d'obéir pour une fois. Ca me fatigue tout ces hommes qui, en plus de ne rien avoir dans le pantalon, ne savent pas s'occuper d'une femme. Toi, montres moi que tu es un homme digne de ce nom !

La jeune femme fit glisser le pantalon de Kurayami au sol, emmenant ses sous vêtements au passage. La vision du corps du jeune homme maintenant complètement nu la fit frissoner. Il était réellement magnifique, avec ses muscles tendus par le désir, son visage d'ange qui tromperait n'importe qui sur la perversité qui l'habitait. Ses lèvres étaient un appel à la luxure, comme son être tout entier.

Reiko s'allongea sur le dos, prenant un air moqueur, imitant la soumission à la perfection. Elle faisait maintenant bouger ses hanches légèrement de droite à gauche, pour inviter Kurayami à se placer au dessus d'elle...

Innocence Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 02/12/2005

Le froid de la pièce s’étala tel un drap fin sur le corps du Kurayami. Un léger frisson qui s’estompa a la vison de la splendide créature qui n’attendait qu’un geste de la part de l’homme désiré. Adel se pencha sur la jeune femme et se mit sur elle au niveau de son bassin. De ses mains il prit le couteau et dégrafa son soutien gorge de dentelles noir libérant sa poitrine si voluptueuse. Deux seins ronds, blancs, pleins, merveilleusement taillés, ils semblaient doux, pourquoi ne pas les caresser ? Les deux mains se posèrent d’abord sur le propre torse du jeune homme essuyant les quelques gouttelettes de sang qui ternissaient encore ce doux corps. Les mains pleines de sang il les déposa ensuite sur les seins de la belle, les entourant d’une traînée pourpre, caressant du pouce le téton droit, puis le gauche. Les mains sublimaient cet artifice et le rendait plus éclatant sous la lumière fine et discrète de bougies qui entouraient le lit.

Le regard et le visage de Kurayami étaient maintenant emplies d’une sensation douce et chaude, un sentiment de plaisir, visible., sa langue caressait ses lèvres et les mains allaient quelques fois remettre les mèches rebelles des cheveux en place. Le corps se plongea ensuite sur le torse de la jeune femme, la bouche embrassant les seins, les mordillant sensuellement mais fermement, la langue parcourait les rondeurs des seins, s'arrêtant parfois sur un téton, et décrivant des cercles autour de lui… Les mains allaient et venaient sur le corps, des hanches jusqu’au cou. La langue se mit a faire des sinuosités descendant progressivement vers la féminité intime. La culotte fût elle aussi retirée rapidement, laissant l'Ève dans sa plus pure nature. Le sexe était parfait, bien épilé et parfaitement proportionner.

Kurayami s’arrêta un instant…
Ton Ange va te faire découvrir le paradis…Dit il d'un oeil espiegle.

Aussitôt la bouche s’abattait sur l’intimité de l’Ève, la langue caressant les parties avec la plus habile finesse. Ce monde était le sien, et sa langue en faisait la découverte. Les mains s’accrochaient aux cuisses les tenant fermement malgré les gémissement et les plissement du corps sous le plaisir charnel ressentit. Les lèvres s’accrochant a celle de la jeune femme, les caressant dans un tourbillon de salive et de contact buccal. Les mains caressaient maintenant les seins, et sentaient le buste de la jeune fille pris de plaisir.

Kurayami sortit la tête du chez d’œuvre féminin et esquissa un sourire vers la jeune femme prise de plaisir. Il se caressa les lèvres et replongea dans son intimité

Lorsque Kurayami replongea une nouvelle fois sa langue en elle, Reiko laissa échapper un gémissement de plaisir, et se mordit violemment les lèvres pour étouffer les suivants. Elle prit à pleines mains la tête du jeune homme et enfonça ses doigts dans ses cheveux blonds, épais et soyeux. Un instant elle se courba vers lui pour le regarder se mouvoir. Mais elle rejetta vite son corps en arrière sous l'effet des caresses de la langue qui ne cessait de faire monter en elle d'ardents frissons, des vagues de chaleur uniquement dues à l'agilité de Kurayami.

Reiko ferma les yeux et se laissa aller à savourer les sensations que son amant lui faisait ressentir. Il était son égal, superbe, violent, passionné et sadique, un Ange de la Mort qui délaissait la faucheuse pour goûter aux plaisirs de la chair. Et elle le voulait, elle le désirait ardemment à présent, plus qu'elle n'avait jamais désiré aucun homme auparavant. Mais pas trop vite non, il fallait savourer encore ce plaisir qu'il lui donnait, lui en donner aussi autant qu'elle en aurait reçu, jouer encore et encore jusqu'à ce que l'un des deux demande grâce.

Mais pour l'instant, elle était toute entière soumise à ses divines caresses, à sa langue tantôt souple tantôt dure, agile, rapide, lente, profonde, aérienne ou encore appuyée. Sa respiration se faisait lourde, superficielle, elle gémissait doucement en enfoncant ses ongles dans la chair des épaules de son compagnon. Bientôt ce serait son tour à lui, elle comptait bien ne pas faire mentir sa réputation et récompenser la beauté, la générosité flamboyante dont l'homme allongé entre ses cuisses lui faisait cadeau...

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